Cette séance a été l’occasion d’apprendre que les projets immobiliers de la Place Remoiville et de la zac Marne Europe sont décalés, reportés, retardés, reculés …
Ces reports sont bien en adéquation avec notre tribune concernant la gare d’interconnexion, tribune dans laquelle nous constations que la crise immobilière aurait des conséquences sur les projets des investisseurs.
Depuis des années, la municipalité ne compte que sur les hypothétiques recettes du projet Marne Europe pour équilibrer ses budgets. Privée de ces recettes, la capacité d’autofinancement de la ville est insuffisante et cette situation va mettre à mal les finances de la ville.
S’agissant du Centre municipal d’arts, bien que nous ayons voté pour le Projet d’établissement, nous nous interrogeons sur le renouvellement du classement du Centre et sur la possibilité des jeunes diplômés à faire valoir leur diplôme dans un autre centre.
Quant aux frais d’inscription, nous avons assisté à un couac mémorable entre les propos du maire et de ceux de son adjointe à la Culture, l’un étant contre la mise en place du quotient familial, l’autre annonçant que la municipalité y réfléchissait !
Concernant la modification du placement des commençants du marché, nous attribuons une mention spéciale à l’adjoint au Développement économique qui, en plus de déformer les propos de Frédéric Massot, avoue que le redéploiement des espaces empêchera l’opposition d’y tenir sa permanence le dimanche matin.
Telle est traitée l’opposition à Villiers !
Pour terminer, en fin de réunion, à 22:00, et sur le parvis de la salle Brassens, nous avons assisté à une scène étonnante. Cinq mères de famille accompagnées de deux bébés, attendaient le maire pour lui faire part de leurs doléances.
22:00 ?? Tout de même !
Il est inadmissible que des mères de famille n’aient que cette possibilité pour échanger avec le maire.
À suivre…
